Enfin une péninsule où le temps est avec nous ! Pas trop chaud grâce au vent avec un ciel bleu.
Nous nous sommes couchés dans un camping au bord de la mer. Inconvénient, cette année, il est en réparation… Nous sommes restés juste pour la vue.
On s’installe en bord de mer 
Fin de journée sur le camping 
On cherche un bon emplacement pour poser la tente 
Claire est ravie de camper dans ce camping en rénovation
Il y avait d’énormes araignées qui tissaient des toiles si grandes que l’on aurait pu y rester collés. En montant la tente, Claire a attrapé la toile avec un des matelas gonflable. La pression et la peur sont montées rapidement ! Vincent a suggéré, en ne voyant plus l’araignée sur sa toile, qu’elle était sur le matelas, dans la tente… le sommeil a été très léger à l’idée de se faire agresser par ce monstre avec ses grandes pattes qui tricotent.
Une araignée en bord de mer 
Fin de journée, l’heure d’aller se coucher pour nous 
Notre tente de nuit, refuge contre les araignées et autres insectes
Au petit jour, nous quittons les rives calmes de cette mer enclavée pour se rendre dans la péninsule de Shimokita.
Lever de soleil sur notre tente 
Vue sur la mer au petit matin 
Un oiseau vole dans les premières lueurs de la journée 
La mer vue depuis notre tente 
Vincent songeur au bord de la mer 
Une île accessible à pied, à quelques centaines de mètres de notre camping 
Un pêcheur part de bon matin 
Vincent profite du soleil matinal
Nous avons fait une halte rapide au temple Ozore San, proche d’un lac où règne une odeur de souffre et dont les cours d’eau sont jaunis. Ce temple est un lieu de recueillement pour les personnes ayant perdu un enfant. On aide les âmes à passer dans l’au-delà en ajoutant des pierres aux divers kerns.
Les statues devant le temple de Ozore San 
Le lac souffré de Ozore San 
Vincent n’en croit pas ses yeux… Un temple !
Après cet arrêt nous avons pris l’unique route pour Oma et son cap, point le plus septentrional de l’île de Honshu. Une ville très active sur le marché du thon. Une occasion pour nous.
Si fière de son thon, la ville d’Oma lui a érigé une statue 
Une mouette du cap d’Oma 
Le phare au large du cap d’Oma 
Mouette vs Claire, qui gagnera la bataille de regards ?
Nous ne sommes pas pour la pêche intensive et on boycotte le thon dans les grandes chaînes. Mais cette région, renommée pour son thon d’excellente qualité, prône une pêche plus respectueuse de l’environnement et de la faune. Les pêcheurs continuent d’ailleurs de pêcher à la ligne. Nous avons donc testé notre premier thon rouge sur un bol de riz : maguro don.
Bien que le repas fût un régal, nous sommes fixés, nous ne sommes pas de grands fans de thon rouge…
La partie restaurant était complète du coup on a mangé dans le salon de la maison 
Assortiment de saumon, thon, crevettes 
Maguro Don (thon cru sur du riz) avec ses accompagnements au cap d’Oma
Après avoir visité les quelques boutiques de la ville, nous avons repris la route direction Mutsu pour un camping payant afin de nous laver et de faire notre lessive.
Camping au bord d’un petit lac 
Le camping était complètement vide 
Un gorille dans le camping 
Vincent est vraiment heureux de faire du camping
